L'art de (se) diriger ( le blog de Laurent Pellegrin)

L'art de (se) diriger ( le blog de Laurent Pellegrin)

L'art de diriger

 

 

Les leaders

"Les leaders sont ceux qui plongent la tête la première dans l'inconnu. Qui accourent au moindre signe de danger.

Qui mettent de côté leurs propres intérêts pour nous protéger ou nous conduire vers l'avenir.

Les leaders sont prêts à sacrifier ce qui est leur pour préserver ce qui est nôtre. Et jamais ils ne sacrifieront ce qui est nôtre pour préserver ce qui est leur.

C'est ça être leader.

Cela signifie d'être toujours le premier face au danger, d'aller au devant de l'inconnu.

Et une fois certains qu'ils veillent sur nous, nous leur emboîtons le pas et nous travaillons sans relâche pour réaliser leur vision,

et nous serons fiers d'être leurs disciples."

 

Source : Pourquoi les vrais leaders se servent en dernier (Simon Sinek), Pearson.


05/12/2016
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Le prix Philibert-Vrau 2016

Partisan de l’« entreprise libérée », Eric Boël, PDG des Tissages de Charlieu, reçoit vendredi 25 novembre le prix Philibert-Vrau, remis par la fondation des Entrepreneurs et dirigeants chrétiens.

 

A lire : http://www.la-croix.com/Economie/France/Eric-Boel-l-etoffe-du-patron-2016-11-25-1200805748


29/11/2016
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Cent ans après Fayol, l’innovation managériale en perspective

Ce texte est issu des travaux de réflexion du séminaire, Innovation managériale, (2014 – 2016), du Collège des Bernardins, qui a tenu son colloque conclusif le vendredi 4 novembre 2016. Ce séminaire, co dirigé par Charles-Henri Besseyre des Horts, Maurice Thévenet, et Michel de Virville, se proposait de réfléchir aux transformations actuelles du management, en s’intéressant à la place de l’humain, dans la connexité, dans la diversité des hiérarchies et la mondialisation.

 

A lire sur : https://theconversation.com/cent-ans-apres-fayol-linnovation-manageriale-en-perspective


28/11/2016
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Autorité et compétence sont liées

Il y a des jours où l'on se sent moins seul. C'est toujours le cas avec Michel Serres dans le cadre de cet article sur l'autorité et son lien avec la notion de compétence dont voici un extrait :

"Dans la langue française, le mot "autorité" vient du latin auctoritas, dont la racine se rattache au même groupe que augere, qui signifie "augmenter". La morale humaine augmente la valeur de l'autorité. Celui qui a autorité sur moi doit augmenter mes connaissances, mon bonheur, mon travail, ma sécurité, il a une fonction de croissance. La véritable autorité est celle qui grandit l'autre. Le mot "auteur" dérive de cette autorité-là. En tant qu'auteur, je me porte garant de ce que je dis, j'en suis responsable. Et si mon livre est bon, il vous augmente. Un bon auteur augmente son lecteur."

Lire sur : http://www.lepoint.fr/societe/michel-serres-la-seule-autorite-possible-est-fondee-sur-la-competence-21-09-2012-1509004_23.php#xtor=CS2-238


28/10/2016
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Le leader libérateur

 La formule du jour : "Ce n'est pas de pétrole ou de nourriture dont on manque le plus dans ce monde -c'est de leadership."

 

Un début de réponse avec le leader libérateur tout ce que cela implique de revisitation du modèle traditionnel du patron et de sa vision de l'entreprise sous la plume d'Isaac Getzsur son blog dans le cadre d'une chronique écrite pour le Huffington Post : http://liberteetcie.com/2016/10/devient-on-leader-liberateur/

 

Pour en savoir plus, lire "Liberté & Cie" et "La liberté, ça marche!", éditions Flammarion, septembre 2016.


10/10/2016
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Le leader positif

La méditation de pleine conscience, la psychologie positive et les neurosciences peuvent-elles transformer le leader, au service d’une performance à la fois humaine et économique ? C’est la conviction d’Yves Le Bihan, président de l’Institut français du leadership positif. Paru en juillet aux éditions Eyrolles, son livre « Le Leader positif » expose une méthode basée sur les dernières avancées scientifiques.

 

En lire plus sur : http://www.focusrh.com/strategie-rh/organisation-et-conseil/leader-positif-vers-un-nouveau-modele-managerial-28961.html


19/09/2016
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Vertueux charisme

Je suis un inconditionnel de Sophie Peters et je me retrouve totalement dans le Coin du Coach du mardi 13 septembre consacré au charisme que je retransmets entièrement :

 

"Par ces temps d’affirmation de soi où chacun cherche à sortir du lot dans une société qui privilégie les performances et les résultats à très court terme, le charisme fait figure d’oublié.

Dommage, car il est l’un des ingrédients majeurs du leadership. Une personne charismatique va permettre à un groupe de s’élever, de s’accomplir, de réussir quelque chose et de s’approprier ses succès. Car loin d’être le cousin germain de l’arrogant, le charismatique n’a pas besoin de s’attribuer ses résultats : il agit avec ouverture d’esprit et de cœur, sait tenir compte des autres sans en dépendre, et cultive l’exemplarité.

Quand le narcissique se sert du lien social pour servir ses intérêts, le charismatique, lui, s’en nourrit pour faire « avec » et « ensemble ». Mais, pour exister, « les personnalités charismatiques ont besoin de rencontrer une situation qui leur offre une possibilité d’investissement personnel », écrit Lionel Bellenger dans son formidable ouvrage La Vérité sur le charisme (ESF Editeur, 200 pages, 23 euros).

 

Souriant et ferme. C’est donc dans l’action et non dans l’affichage qu’il prend son sens. « Ce qui nourrit le charisme d’une personnalité n’est pas seulement ce qu’elle a fait ou ce qu’elle sait faire, c’est comment elle s’est comportée pour réussir. C’est parce qu’elles ont agi elles-mêmes avec passion que certaines personnalités deviennent charismatiques », précise Lionel Bellenger.

 

Le style personnel ne doit ici pas être négligé : souriant et ferme, inspirant et audacieux, ouvert mais exigeant, discret mais accessible. C’est autre chose que de courir après l’« e-réputation », qui se nourrit du boniment.

Affranchi de la tentation du pouvoir et de la domination, le charismatique se nourrit, lui, du parler vrai, signe de confiance. En cela, il confirme son utilité pour favoriser croissance et autonomie des individus en créant les conditions d’une réussite collective."


En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/emploi/article/2016/09/12/les-vertus-du-charisme_4996153_1698637.html#RwJKEeDGt9V72wQc.99

14/09/2016
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Isaac Getz, «La liberté, ça marche !», Flammarion, 22 euros

Ici, pas de recette miracle mais un état d’esprit.

1) L’entreprise libérée, une philosophie : Quelques croyances simples servent de socle : l’homme est digne de confiance, chacun a des dons, les êtres humains préfèrent s’autodiriger plutôt qu’être dirigés. Toutefois, l’articulation de cette philosophie au sein de l’entreprise n’a rien de naturel.

2) Des inspirateurs : Comment croître dans l’impermanence qui règne autour de l’entreprise ? Le Tao suggère de renoncer à diriger les hommes pour qu’ils s’organisent spontanément. Un ancien syndicaliste, Hyacinthe Dubreuil, a, quant à lui, dessiné les contours de l’entreprise libérée, affirmant que l’organisation et les relations dans le travail sont conçues pour satisfaire les besoins intellectuels, moraux et économiques des salariés. Citons encore Robert Greenleaf, qui a décrit les leaders serviteurs : ils donnent la priorité aux autres et non au leadership autoritaire.

3) Les leaders libérateurs : Un nouveau terme émerge. Bill Gore a élaboré sa propre philosophie de l’entreprise. L’homme donnerait le meilleur de lui-même si celle-ci lui faisait confiance et lui permettait d’agir librement. Selon Robert Townsend, ce ne sont pas les faits qui font l’histoire mais les événements marquants. Peu de responsables délèguent véritablement. La confiance s’obtient dans la durée. Une fois que les gens sont dynamiques et motivés, il n’est quasiment plus nécessaire de les contrôler. La règle d’or de Robert McDermott (« sers ton prochain comme toi-même ») devient le mot d’ordre du service d’excellence qu’il cherche à instaurer. Tout comme le client, le salarié est un « prochain ».

4) Quel défi ? Relever le plus difficile de tous les défis, c’est faire en sorte que les individus soient heureux de se rendre à leur travail chaque matin.

 

La liberté, ça marche !


En savoir plus sur : http://business.lesechos.fr/directions-generales/strategie/organisation-des-entreprises/0211269810220-4-idees-a-retenir-de-la-liberte-ca-marche-213975.php?gSAxhU37hwvjwTPh.99


14/09/2016
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The Iceberg Illusion

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12/09/2016
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Rien à ajouter

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06/09/2016
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Le leader aveuglé par la récompense

"Les dirigeants qui ne pratiquent que le style chef de file ou celui du commandement - ou les deux - installent un climat toxique qui démoralise ceux qu'ils dirigent. Ils obtiendront peut-être des résultats à court-terme à travers un exploit individuel, en allant par exemple eux-mêmes décrocher un contrat, mais ce sera au détriment de l'édification de leur entreprise.

"Le leadership pète les plombs", tel était le titre d'un article consacré par la Harvard Business Review à ce genre de travers, sous la plume de Scott Spreier et de ses collaborateurs du Hay group. " Ils sont tellement focalisés sur la récompense, qu'ils deviennent aveugles à l'effet qu'ils produisent sur ceux qui les entourent.""

 

David McClelland de Harvard avait lui aussi très tôt remarqué que certains dirigeants très efficaces "sont tellement obsédés par l'idée de trouver un raccourci vers l'objectif qu'ils cessent d'être très regardants sur les moyens employés pour l'atteindre""

 

Source : "Attentif, concentré et libre" de Daniel Goleman, chez Pocket, pp 338-339 et p341

 


04/07/2016
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15 citations inspirantes pour votre leadership

http://www.blog-management.fr/2016/05/30/15-citations-inspirantes-leadership/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=15-citations-inspirantes-leadership&utm_medium=facebook&utm_source=twitterfeed

 

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30/05/2016
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La fin de la hiérarchie n'est pas la fin du manager (trilogie)

À travers cette série de trois articles, Agile et Nicolas Lochet proposent une réflexion sur ces nouvelles organisations plates, « libérées » ou dites de « bonheur au travail » qui font fit de la hiérarchie et réinventent le rôle du manageur. Dans les précédents articles, nous avons vu les raisons qui amènent certaines entreprises à vouloir faire disparaître la hiérarchie et les nouveaux besoins qui émergent au sein de ces organisations sans « chef ».

 

Pour conclure, voici pourquoi il serait prématuré d’en déduire qu’il s’agit là de la fin du manageur.

Source : http://blog.xebia.fr/2016/05/11/agile-la-fin-de-la-hierarchie-nest-pas-celle-du-manageur-13/

Bonne lecture.

LP


30/05/2016
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Courage, vous avez dit courage

Très bon entretien sur le thème du courage managérial : http://www.psychologies.com/Travail/Vie-professionnelle/Relations-professionnelles/Interviews/Celine-Ricoce-Le-courage-managerial-est-une-qualite-trop-rare


01/04/2016
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De l'optimisme comme facteur clé de succès

Quelles sont les clés pour faire de l'optimisme un outil au service de l'entreprise ?

 

"L'optimisme est une posture créatrice d'énergie, un mode d'anticipation positive de la réalité et de ce qui va advenir. Il peut être posé comme valeur, c'est-à-dire attitude ou comportement attendu considéré comme souhaitable chez les collaborateurs.

Clé n° 1 : concentrer l'essentiel de son action sur les forces (le verre à moitié plein) et l'énergie vitale de ceux que l'on dirige .

Clé n° 2 : avoir le culte de l'action, mettre son énergie où sont les marges de manoeuvre.

Clé n° 3 : privilégier les solutions efficaces, même partielles et temporaires. Les solutions parfaites, définitives n'existent pas.

Clé n° 4 : pousser à la persévérance et à la prise de risque. etre ouvert aux opportunités comme à l'échec et savoir le transformer en action. car si l'optimisme est un facteur de réussite puissant, c'est d'abord parce qu'il crée les conditions psychologiques et relationnelles de la persévérance."

 

Philippe Gabilliet, professeur de psychologie et développement professionnel à ESCP Europe, dans le cadre du Recto-verso publié par Eurogroup consulting sur l'Optimisme


25/03/2016
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