Sociodynamique
La sociodynamique (le mouvement par les hommes) inventée par Jean-Christian Fauvet, il y a 40 ans, est un cadre de réflexion et d'action qui a pour objet la transformation des organisations, la résolution des tensions sociales, leur prévention, par la promotion de l'affectivité individuelle et de l'engagement collectif derrière un projet.
"Organiser, ce n'est pas mettre de l'ordre, c'est susciter la vie" est une phrase de Jean-René Fourtou, avec qui il a co-écrit "La Passion d'entreprendre" en 1985.
Fondamentalement, la sociodynamique a pour vocation de provoquer un élan collectif au service d'un projet, d'un dessein grâce à l'engagement des salariés, des cadres et des dirigeants.
Elle propose de combiner quatre grandes formes d'organisation : mécaniste, tribale,individualiste, holomorphe et trois modes de management : l'imposition, la transaction et l'animation.
La tendance est malheureusement pour Fauvet, derrière un discours opposé, à l'organisation mécaniste et au mode de management par imposition lesquels développent des individus sociopassifs.
Il caresse lui l'idée de faire émerger un 4ème mode de management, plus subtil, celui du vide contrôlé. Sorte de laisser faire tout empreint de vigilance, accordant de l'autonomie et favorisant la responsabilisation pour libérer les talents nécessaires à notre compétitivité de demain.
Source : La revue Kea&Partners, septembre 2009.
"Organiser, ce n'est pas mettre de l'ordre, c'est susciter la vie" est une phrase de Jean-René Fourtou, avec qui il a co-écrit "La Passion d'entreprendre" en 1985.
Fondamentalement, la sociodynamique a pour vocation de provoquer un élan collectif au service d'un projet, d'un dessein grâce à l'engagement des salariés, des cadres et des dirigeants.
Elle propose de combiner quatre grandes formes d'organisation : mécaniste, tribale,individualiste, holomorphe et trois modes de management : l'imposition, la transaction et l'animation.
La tendance est malheureusement pour Fauvet, derrière un discours opposé, à l'organisation mécaniste et au mode de management par imposition lesquels développent des individus sociopassifs.
Il caresse lui l'idée de faire émerger un 4ème mode de management, plus subtil, celui du vide contrôlé. Sorte de laisser faire tout empreint de vigilance, accordant de l'autonomie et favorisant la responsabilisation pour libérer les talents nécessaires à notre compétitivité de demain.
Source : La revue Kea&Partners, septembre 2009.
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