L'intelligence sportive au service du manager
Managers et dirigeants sont dans la même situation que l'athlète de haut niveau qui doit être le meilleur dans sa discipline et que le coach qui doit faire gagner son athlète ou son équipe.
Les qualités transposables aux managers :
Outre des qualités décisionnelles supérieures aux autres, les sportifs de haut niveau lisent ce qui se passe sur le terrain avec un temps d'avance, essayent d'inventer et d'innover en permanence, savent développer leur capacité de lecture de l'environnement grâce à une vision systémique. Et bien sûr une "capacité d'abattage" et une endurance physique souvent négligée dans la littérature managériale pour représenter la performance.
Et puis faire de son job un jeu et ne pas oublier la dimension plaisir. Et la gagne. Cela revient à maximiser son potentiel et se dépasser dans une perspective d'épanouissement personnel.
Enfin, savoir maîtriser ses émotions pour les activer à temps voulu et enfin cultiver sa confiance en soi. "La confiance en soi d'un athlète est une dynamique qui se nourrit de ses succès. de même, un manager qui s'expose à des challenges et les gagne valorise son capital confiance et progresse presque sans effort en donnant une impression d'aisance à son entourage".
"L'intelligence sportive au service du manager", Christophe Inzirillo, Franck Bournois, Eyrolles-Editions d'organisation, 22€
Source : revue Management, février 2010
- Réussir dans ces deux rôles implique de mobiliser son intelligence sportive, à savoir les sept intelligences de l'athlète : stratégique, technique, tactique, physique, mentale, collective et axiologique ; et les quatre intelligences du coach : entraîneur, capitaine, coéquipier et arbitre-sélectionneur.
Les qualités transposables aux managers :
Outre des qualités décisionnelles supérieures aux autres, les sportifs de haut niveau lisent ce qui se passe sur le terrain avec un temps d'avance, essayent d'inventer et d'innover en permanence, savent développer leur capacité de lecture de l'environnement grâce à une vision systémique. Et bien sûr une "capacité d'abattage" et une endurance physique souvent négligée dans la littérature managériale pour représenter la performance.
Et puis faire de son job un jeu et ne pas oublier la dimension plaisir. Et la gagne. Cela revient à maximiser son potentiel et se dépasser dans une perspective d'épanouissement personnel.
Enfin, savoir maîtriser ses émotions pour les activer à temps voulu et enfin cultiver sa confiance en soi. "La confiance en soi d'un athlète est une dynamique qui se nourrit de ses succès. de même, un manager qui s'expose à des challenges et les gagne valorise son capital confiance et progresse presque sans effort en donnant une impression d'aisance à son entourage".
"L'intelligence sportive au service du manager", Christophe Inzirillo, Franck Bournois, Eyrolles-Editions d'organisation, 22€
Source : revue Management, février 2010
A découvrir aussi
- L'entretien d'évaluation : un outil de management complet
- Une Web TV sur le management
- Le lien entre votre bonheur au bureau et votre chef
Retour aux articles de la catégorie Management et RH -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 83 autres membres